Beriz... Beriz... je fais le pari que vous ne direz jamais à personne... que je vous hais
Que je vous méprise
Parce que vous êtes devenue une ignoble marchandise
Les frères qui me renient aujourd'hui
Me remercieront demain
D'avoir sur vous la main mise
Je suis le nouveau conquérant
Vous êtes la conquise.
Je suis le prestige
Qui va vous étrangler, Madame la marquise !