Si le salut n’est pas pour tous
Il ne l’est pour personne…
L’amitié a deux visages
Le premier dessiné par Albert Camus :
« Voyez-vous on m’a parlé d’un homme dont l’ami avait été emprisonné et qui couchait
tous les soirs sur le sol de sa chambre pour ne pas jouir d’un confort qu’on avait retiré à celui qui l’aimait ».